Dimanche 31 août 2008 à 22:17

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Oui, une introdiction.
Pourquoi ? Parce que le mot "introduction" est toujours trop explicite à mon goût.
J'aime ce qui est implicite, ce que tout le monde ne peut pas comprendre.

Intro-diction car j'aime les mots, leur valeur, leurs relations syntaxiques parfois compliquées
permettant de dire de belles choses, et de moins belles.

Intro-diction car j'aime dire correctement les choses. 
Et même si j'ai parfois - souvent - du mal à dire correctement ces choses, 
qui ne tente rien n'a rien.

Si vous saviez à quel point les mots sont riches, 
à quel point notre langue, que dis-je, les langues sont belles.
Elles le sont, explicitement et implicitement.

Vous n'avez rien compris ?
...
Moi non plus.

Samedi 3 janvier 2009 à 11:06

 


Vous imaginez une vie sans musique ?
Ça serait comme une vie sans oxygène, l'automne sans ses belles couleurs, un napoléon au citron qui aurait perdu son gout acidulé, un chocolat chaud sans sa crème fraîche, bref... ça serait naze !
Moi, la musique, elle me fait vibrer. Elle me rappelle des souvenirs, des bons et des moins bons.
 
J'aime la musique. Elle me fait vivre.
 


Chaque événement de ma vie est accroché à une chanson : Lemon Tree à mon dernier camp guide, Far away me fait penser à Lui, Zazie me fait penser aux Francos 2007, tout comme Ozark Henry. Quant à Evanescence, Avril Lavigne, Hoobastank et Britney Spears, ils me rappellent mon adolescence. Alors que 30 Second To Mars et In Flames me font penser à mes premiers mois avec Lui.

Certaines chansons sont classées « has been ». Pas dans le top 100 de la musique actuelle, mais dans mon top 100 à moi. Et tout ça parce qu'elles ont la faculté de rappeler de souvenirs assez durs. Je prends l'exemple de Always Love de Nada Surf, ou encore de Helene de Roch Voisine. Ou encore de Tiesto, Trespassers William qui me rappelle des périodes où j'étais en perpétuelle recherche de moi-même !
Des périodes où je n'ai pas toujours été heureuse, des souvenirs pas toujours joyeux, plus de larmes que d'éclats de joie, où les sourires et rires sincères étaient rares, mais des éléments de ma vie qui font ce que je suis maintenant.
 
Je ne peux pas les effacer, ce serait me mentir à moi-même.
 


Aujourd'hui, je vis vraiment. J'ai découvert d'autres artistes, dans tous les styles possibles et imaginables. Je vis leur musique avec eux, je les écoute, je vais les voir (du moins quand je le peux). Je reste fidèle à mes gouts, mais je suis assez éclectique dans mon genre. J'aime la musique, ce qui y ressemble, et un de mes rêves serait de pouvoir en faire un jour, plus ou moins correctement. Pas spécialement devant des gens, mais pour moi.
 
Juste pour moi.
 



J'aimerais que la musique me fasse vibrer complètement.
De la tête aux pieds, en passant par mes doigts et les cordes de ma guitare.


 

Vendredi 27 mars 2009 à 18:29



"On essaye de croire que la réalité est mieux que le rêve. On se persuade qu’il ne vaut mieux pas rêver du tout. Mais les plus solides d’entre nous, les plus déterminés s’accrochent à leurs rêves. Il arrive aussi qu’on soit en face d’un rêve tout neuf qu’on n’avait pas envisagé. Un jour on se réveille et contre toute attente, l’espoir renait. Et avec un peu de chance, on se rend compte en affrontant les évènements, en affrontant la vie, que le véritable rêve c’est d’être encore capable de rêver."


Grey's Anatomy




Vendredi 14 août 2009 à 17:47

On croit toujours qu’elle n’arrivera que plus tard. 
On repousse cette éventualité au plus loin dans notre esprit. 
Et le jour où elle tombe, il faut pourtant voir la vérité en face. 
Quelle sal*pe. Vraiment.

 


 .  .  .

J’avais l’impression d’être comme dans les séries télé, vous savez,
les fils, les perfusions le « bip-bip » des machines,
le tuyau du respirateur dans la bouche…
Sauf que dans le lit, c’était pas un acteur. 
C’est de ma faute, j’ai voulu aller le voir.
Une dernière fois.
Lui dire au revoir. 
J’ai pas osé le toucher, j’avais peur… je sais pas de quoi.
De lui faire mal peut-être ?
De m’approcher un peu trop de lui ?
J’en sais rien en fait. 
J’aurais voulu lui parler encore, le voir sourire,
l’entendre râler sur les infirmières...
Mais non.
Pour moi, on l’avait déjà perdu.
Il ne sourirait plus jamais.
.  .  .


On aurait dit qu’il attendait que je vienne.
Parce qu’après… et bien, il est parti.
Pour toujours
.

Mardi 15 septembre 2009 à 12:25


[ Il est des douleurs qu'il est impossible d'apaiser ]


 
Il en existe une dans ma vie, cinglante,
plus grande encore que toutes celles qui en ont fait partie jusqu'à présent.
Je n'ai pas envie de l'attiser, par peur d'oublier.
A croire qu'elle doit rester ouverte pour pouvoir être vécue pleinement.




Mercredi 13 janvier 2010 à 9:05


Bien des gens meurent sans avoir composer toute leur musique,
trop souvent c'est parce qu'ils passent leur temps à préparer
ce que sera leur vie au lieu de la vivre et
avant qu'ils ne s'en rendent compte 
leur temps leur a filé entre les doigts. 

[Oliver Wendell Holmes]

Lundi 29 mars 2010 à 12:28

 

 " Il mettait à blasphémer l'acharnement qu'on met à blesser un être
qu'on a éperdûment aimé et qui vous a cruellement fait souffrir."


Adile Ayda
Le drame intérieur de Mallarmé

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